Moi, détective Larsson !

L’heureux retraité apaisé porte ses presque quarante balais avec bonheur, beau gosse, un johnny, mi John Wayne, mi Tabarly. Quelques rides profondes marquent son faciès buriné de baroudeur, yeux bleu charrette, presque gris, nez épaté, oreilles décollées, stigmates d’une carrière rugbystique récente, larges épaules, chevelure brune coiffée en brosse, lèvres charnues auxquelles le garçon n’oublie jamais d’accrocher, heureux ou malheureux, un sourire à la George Clooney. Il a rasé sa moustache qui lui donnait, selon lui, un air trop prononcé de soldat des régiments Écossais les fameux et furieux Highlanders. Un beau mec ce François, ce Jack, un landais type, un type de landais, célibataire qui n’a pas l’accent scandinave mais rocailleux du Sud-ouest. Célibataire c’est vite dit. Parfois marié, pour un mois, un jour, une heure, un chien sans laisse auquel pas une seule belle n’a encore pu coller un collier. Il se méfie le bougre mais le pire n’est jamais certain.

Jack craque !

Jack imaginait Jade, cette cliente aux longues jambes dans son tailleur gris, cette blonde qui sentait bon le jasmin. L’ invitation ne cachait pas le moins du monde les intentions affichées de la dame. Elle souhaitait passer un bon moment ou un mauvais quart d’heure entre les mains du privé, c’était selon. Il se méfait, il la trouvait aussi dangereuse qu’attirante mais il aimait le risque et douze billets de cinq cents euros ça se mérite, même si l’on doit donner de sa personne.

Ocotobre 2024

Octobre 2024

Jack tombe dans le piège !

La petite voiture de sport, un cabriolet Triumph rouge, rangée au bord de la chaussée à l’orée du bois de Boulogne fit se retourner Manuel De Frutos. En cette période de l’année les promeneurs se faisaient rares dans ce secteur boisé et marécageux, surtout en raison des inondations de l’Adour capricieuse. Comme tous les après-midi, lorsqu’il ne pilotait pas un TGV entre Paris et Dax le cheminot entretenait sa condition physique. Il préparait le marathon du Médoc.

Jack se méfie

Jack imaginait Jade, cette cliente aux longues jambes dans son tailleur gris, cette blonde qui sentait bon le jasmin. L’ invitation ne cachait pas le moins du monde les intentions affichées de la dame. Elle souhaitait passer un bon moment ou un mauvais quart d’heure entre les mains du privé, c’était selon. Il se méfait, il la trouvait aussi dangereuse qu’attirante mais il aimait le risque et douze billets de cinq cents euros ça se mérite, même si l’on doit donner de sa personne.

Mars
2020

Les Landes et les  jolies femmes

    Station-service d'un hyper marché dacquois le  vingt quatre décembre en soirée. Les fameux pandores Morgan et Marcel sont sollicités pour constater un vol commis par deux traîne-savates.  A leur grande surprise les enquêteurs sont accueillis par un tir nourri, les pruneaux pleuvent, ils ne sont pas d'Agen. 
   L'enquête conduit les brigadiers du côté de Biscarrosse, là où les femmes sont belles, mystérieuses et volages.
   La Camecrude rôde, une fée sous les traits d'une sorcière ça n'existe pas, et pourtant...Marcel hérite d'une mission délicate, infiltrer le milieu naturiste de la côte landaise. Sa pudeur lui permettra-t-elle d'agir en service commandé ? L'idée d'une crampe soudaine honteuse et publique le tétanise. 
   Petits malfrats, truands notoires, comme toujours Morgan et Marcel ne lâchent rien , même pas les belles gosses de Biscarrosse.
 

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